vendredi 20 mars 2015

LE COURANT PASSE ENTRE ERIC VALLONI ET LA POESIE



A la demande et pour faire plaisir à Eric Valloni, voici 2 poèmes que j'ai retrouvé sur son blog. Ils datent du temps où il avait encore le temps de composer. Comme quoi, même les artisans, à la longue, perdent le goût de la poésie. Dommage. 
Pour Eric : le bues du businesman ! Il est artiste mais, il s'est mis à travailler. Maintenant, il est au "courant".

BELFORT, BELLE, FORTE, PACIFIQUE

- De quoi te souviens-tu, de Belfort la belle ?
- De son lion colossal, par Bartholdi bâti !
- Et c’est tout ? Que fais-je de la citadelle
  Dont les remparts lui avaient donné son appui ?
  Et de ses habitants qui sont si pacifiques
  Qu’ils ont traversé les histoires en secret ?
  Ou de son territoire encor gallique
  Qui nous montre un lion de pierre pour tout aspect ?
  Et toi, Belfortain, est-ce pour te protéger
  Que tu montres le roc ou est-ce par pudeur
  Que tu fais peu parler de toi ? Pourquoi cacher
  Tes sentiments si, sur la main, tu as ton cœur ?


NEES D'UN RIEN

D’un noir anthracite, perdu dans le néant,
Des couleurs ont surgi ! venant de nulle part.
Naissance surprise. La lumières s’épand
Et se perd dans le rien. Etait-ce le hasard ?
Ou un accouplement entre lune et soleil ?
Entre mars et vénus, ou simplement « un faux ! »
Mais quelle importance puisque rien de pareil
Ne peut être rêvé sans appareil photo.

Tu vois Eric, promis c'est promis. Tous ceux qui sont passés à l'Atelier de poésie on droit de figurer dans le blog EcrirePastel. Il suffit juste de retrouver les anciens poèmes ou de m'envoyer les nouveaux. 

Bonne lecture. Etn n'oubliez pas de lire le blog de mes amis : Avidoxe, Dan&Dina, SelonCarmen (moi) et VittorioDenim

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