En rangeant mes
affaires, j’ai retrouvé un poème qui a attiré mon attention.
Un poème qui parle
du temps, du temps qui fait peur, celui qui passe. On a beau dire que les
poètes sont immortels, le temps n’est pas le même pour tous.
Alors, voici, c’est un
acrostiche de 14 vers, comme le sonnet (4+4+3+3) mais, irrégulier :
E ncore un an, encore un
mois
L e temps qui passe me
fait peur
L e temps qui fait
n’importe quoi
E t moi qui te demande
l’heure
D e ma fenêtre, au
premier,
O n voit passer quelques
lapins
I ls restent près de
leurs terriers
T ant ils ont peur de
voir le chien
R ésister ? Mais,
au nom de qui ?
E t, si ailleurs, plus
rien ne va
A quelqu’un sert le
paradis
G alant, je dis :
« Toi le premier »
I maginant où tu seras
R ésister, être le
dernier.
Je ne sais pas ce qui m’a pris, l’an dernier,
le jour où j’ai écrit ce texte. Je ne me souviens plus de qui je parlais mais,
aujourd’hui, il me semble de saison.
Je vous souhaite de bonnes
lectures poétiques et,
Vous avez le droit de visiter
le blog de mes amis ; ils les écrivent aussi pour vous : SelonCarmen Avidoxe, Dan&Dina et VittorioDenim.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire