mardi 31 mai 2022

Le printemps était

 

Pour la Fête des Mères

Ce n’est pas encore l’été mais avec le décalage dû au réchauffement climatique, le printemps, pour ainsi dire, n’est plus ; place à l’été. Mais pour nous, poètes, la seule saison qui compte, c’est celle de la poésie pérenne.

Et voici, de Roselyne, quelques mots. D’abord, de la poésie sans les rimes :

A toi, qui aimais tant les tulipes...
" Je n'ai pas su trouver les mots
Quand trop vite tu es partie
Pour rejoindre ton étoile.
Il n'y a pas eu d’au-revoir
Et j'avais tant à te dire
Au vent j'ai confié mes secrets
Et aussi mes profonds regrets
Pour qu'il les mène jusqu'à toi
Alors, puisses-tu les entendre..."

Puis un haïku de circonstance :

Un petit cadeau
C'est la fête des mamans
Bonheur des enfants

Et de moi sur la même fête :

Rose comme toi
Mes souvenirs sentent bon
Partout en mon cœur

De plus, avec mon « Fais-10-Vers » que vous pouvez lire en image, vous avez déjà de quoi lire.

Merci de me (nous) lire et à la semaine prochaine 😉

Comme convenu avec mes amis, voici leurs liens de blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.

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