Phénomène de
mode ou mode de saison, il n’y a pas que le vert qui fait voir ses couleurs.
Mais, il n’est aucun doute là-dessus, après un hiver dépouillé, c’est le vert
que l’on voit le plus.
Aujourd’hui,
comme je suis en train de lire « Tableaux » de Vittorio, j’aimerais
vous mettre quelques vers tirés de ce recueil.
MAISON A COLOMBAGES
Ils sont sans doute Alsaciens ;
Un homme, une femme et un enfant.
Ils sont assis dans le jardin,
Sur l’herbe verte du printemps.
Derrière eux, une maison
A colombages apparents
Marque le lieu et la région :
C’est le Sundgau, assurément.
Le poème n’est
pas entier mais, c’est juste pour vous montrer la valeur du printemps dans
certains endroits avantagés par la nature et donc par les saisons. Et, qui dit
saison, dit aussi printemps.
Si vous voulez
le poème en entier, vous pouvez me le demander, je vous l’enverrai en PDF. Je
pense que Vittorio n’y verra pas d’objection.
Par
ailleurs, si vous voulez être publiés, il suffit de participer à l’Atelier
d’écrirureS68 »
de l’Espace 110 d’Ilzach ou de celui de Schlierbach. Par ailleurs, c’est
possible même via le net. Ecrivez-moi : carmen2nath@gmail.com secrétaire de l’Atelier de Création Poétique de
l’Espace 110.
Comme convenu avec mes amis, voici leurs liens
de blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, Dan et Dina, Dina de Dan, Ecrire Pastel, Éric Valloni, Tandem Littéraire, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.
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