Tout s’en va, tout se meurt, chantait Charles Aznavour en 1967. Et aujourd’hui, cette chanson est toujours d’actualité. Que reste-t-il alors ?
Il reste la poésie. Comme un espoir pour s’accrocher à la vie. A cette vie qui passe nous emportant dans son tourbillon.
Mais
la poésie, où est-elle ? Poètes en sursis ?
Elle est partout… si on veut bien se donner la peine de la voir. Dans un haïku de Roselyne par exemple :
Fleurs de lumièreUn bel instant de magie
Le temps suspendu
Et, quand on l’a repérée, il faut y goûter. Vous verrez, elle a cette saveur de notre enfance, de quand l’avenir n’était pas en option mais si réel qu’il était un présent.
Pour le reste, en image, vous pouvez lire mon « Fais-10-Vers » selon les règles données par le créateur du « mode » : Vittorio.
Merci
de me (nous) lire et à la semaine prochaine 😉
Comme convenu avec mes amis, voici leurs liens de blogs : Atelier d’écritures, avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire