Tanka pour s'affranchir

Dès qu’on a écrit une poésie, on se demande : faut-il l’enfermer dans un tiroir ou la dévoiler aux autres. Une autre question vient immédiatement après : saurais-je et pourrais-je la partager ? 

La laisser dans un tiroir, c’est possible. Après-tout, elle a rempli son rôle : vous libérer d’un poids. Mais, si vous l’oubliez, le fameux poids reviendra ! 

Alors, vient à vous la seconde possibilité : la partager. Elle vous a été utile, elle pourra servir à quelqu’un d’autre. 

Ceci peut être fait de plusieurs manières : la mettre dans un livre, la clamer dans une soirée, la mettre en musique et la chanter, etc. Tout est possible, même d’en faire une vidéo. 

Ci-après, un tanka (5-7-5-7-7)qui explique cette démarche : 

Me voici chez moi

Avec tant de souvenirs

Nouveaux et anciens

Garder en soi tant de mots

Et pouvoir les dire enfin

Quelle sera la bonne façon de partager votre texte ?

Tout dépend de votre caractère. Commencer par clamer votre poésie dans un petit groupe, c’est bien. Et, selon les réactions la faire grandir, voire la retravailler pour l’amener vers plus de gens.

Mon conseil : inscrivez-vous dans un atelier d’écriture, de création poétique ou prose comme celui que nous avons à l’Espace 110 d’Illzach.

Vous pouvez m’écrire sur carmen2nath@gmail.com si vous connaissez cette poésie. Merci.

Par ailleurs, si vous voulez être publiés, il suffit de participer à l’Atelier d’écrirureS68 » de l’Espace 110 d’Illzach ou de celui de Schlierbach. Par ailleurs, c’est possible même via le net. Ecrivez-moi à l’adresse ci-dessus.

Comme convenu avec mes amis, voici leurs liens de blogs : avidoxe, Ateliers d'écritureS, cap. Morgenspat, Dan et Dina, Dina de Dan,  Ecrire Pastel, Éric Valloni, Tandem Littéraire, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim Bonne lecture et, partagez.